01/06/2019

Hiver Impact. Background

Présentation d'un cadre de jeu :

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An 2074 AE = An 0 : Jour de la fin / Impact Hivernal
Histoire officielle : une météorite percute et transperce la lune, avant de finir sa course au coeur de l'Afrique.
Suite à ce choc, les débris lunaire forment une couche de poussière gravitant autour de la planète.
La chute du météore provoque également l'éjection de poussières et de cendres dans l'atmosphère bloquant de ce fait la grande majorité des rayons solaires.

Ceci nous mène à une baisse effroyable de la température globale moyenne vers -12°C en l'espace de quelques jours.

Rapidement, le tiers de l'hémisphère nord se voit recouvert de glace et les océans reculent, laissant les terres marines émerger.

Sinistre, Glace, Froid, choc... en l'espace de 7 jours, 30% de la population humaine est décimée.

Le niveau de luminosité global est drastiquement réduit, rendant la visibilité quasiment nulle. La couche d'ozone est vaporisée près du point d'impact et les rayons UV achevent de rendre la zone stérile.

Image associée

An 1 - An 124 : Le siècle noir
L'hiver d'impact a un effet dévastateur sur les humains et les autres espèces vivantes de la planète.

Avec la lumière sévèrement diminuée, les plantes et les animaux survivant normalement avec l'aide de la photosynthèse disparaissent. Ce manque de nourriture mènera ultimement vers l'extinction massive des autres animaux plus hauts sur la chaîne alimentaire, et causera la mort de 87 % de la population humaine ayant survécu à l'impact.

La civilisation humaine est frappée par une crise économique globale qui conduira à une guerre mondiale pour le contrôle par les gouvernement des dernières ressources.

Cette guerre sera un désastre pour la société, et si à elle seule elle ne provoque pas tous simplement l'extinction de l’espèce humaine : La famine achèvera d'isoler les rares survivant du cataclysme.

An 125 - An 337 : L'ère des cités.
Avec la réduction progressive des poussières présentes dans l’atmosphère terrestre, les rayons solaires passent timidement au travers des poussières lunaires. La nature reprend alors petit à petit ses marques.

Les espèces dormantes dans l'eau encore en vie se propagent tant bien que mal. Tandis que les organismes terrestres gardés en vie dans des microclimats souterrains, sont pour les plus robustes relâchés. De rares espèces sauvages mises en dormance par le froid extrême émergent à leur tour et se lancent à la conquêtes des étendues désertées par l'activité humaine.

Aujourd'hui, le climat global est celui de l'ancienne toundra, et selon les vents, des régions entières sont enfouies sous la glace.

Les restes des populations humaines ayant traversés les siècles Noirs vivent dans des communautés isolées, et si certaines sont retournées à une vie nomade d'autre subsistent des ressources technologiques passées cultivant artificiellement à partir de lampe fluorescentes leurs pitances.

Les gouvernements jugés "efficaces" sont de simple cités états portant généralement ce titre.

Climat actuel

Les glaciers polaires                 Brun

Zones gelée balayée de neige toute l'année, particulièrement hostile à la vie les températures ne remontant jamais dans le positif.

Rapidement apparue après la chute de l'Astéroïde, on l'appelle le cimetière blanc, un endroit où la civilisation à été très rapidement prise dans les glaces et où ces dernières préservent les restes du passé.

L'activité humaine :
Quelques cités isolées reposant encore sur les technologies passées.
Quelques expéditions ciblant des technologies et/ou cités enfouies.

Les terres glacées                    Brun foncé

A peine plus favorable que les glaciers, cette zone reste hostile.

Cependant, elle présente l'été un climat plus favorable localement qui permet le développement d'îlots marécageux temporaires où se développe la flore, si bien que la faune sauvage est active.

Le sol est gelé en permanence en profondeur, il n'y a donc pas de couche chaude près de la surface du sol pendant l'hiver.

L'activité humaine :
Grande majorité cités humaines, protégées des désastres par un contexte rude.
Nombreuses communautés sur anciennes cités, de toute taille.

Les landes                        Jaune
Proche de l'ancienne tundra, l'hiver y est rude, mais l'été, la température monte aux alentours de 0, permettant la fonte des glaces et la croissance d'une flore proche du sol.

Ces espaces sont marqués par les guerres fratricides qui ont suivi l'hiver du siècle noir.

L'activité humaine :
Malgré leur potentiel pour l'humanité, les cité-état y sont très rares, on y trouve cependant des communautés sédentaires en quantité.

La Forêt                                       Brun clair
Cette jeune forêt de conifères se développent lentement sur le reste du territoire, et s'interrompt brutalement sur les terres devenues des déserts sans vie.

Cette forêt dans laquelle les conifères domine la strate supérieure de la végétation voit son climat proche de celui des Landes, mais sans la présence du Pergélisol d'où un climat plus favorable pour l'hibernation de nombreuses espèces.

L'activité humaine :
Ces zones ont été fortement touchées par les famines de l'hiver noir. Aussi, les communautés locales souvent sédentaire ne bénéficient pas du support des cités-état.

 Flore

La flore se constitue (de l'orée de la Forêt aux glaciers) :
  • Landes où se trouvent encore quelques arbres de petite taille et noueux
    (notamment des bouleaux).
  • Landes à arbustes
    (notamment des saules)
  • Pelouses à cypéracées et joncacées,
  • Zones où la végétation n'est plus représentée que par des mousses et des lichens

Toutes ces plantes ont une croissance ralentie en raison des conditions climatiques extrêmes.

La toundra compte encore de nombre d'espèces de fleurs. Les stratégies pour résister au froid sont de plusieurs types : les plantes forment des tapis bas, elles développent des enveloppes laineuses autour des graines et leurs tiges sont pour la plupart velues.

Baies :
Les Canneberges, arbrisseaux à feuilles persistantes et rameaux minces et rampants ne dépassent pas 30 cm de haut.
D'autres baies sont présentes dont la ronce petit-mûrier.


Faune terrestre
La faune, liée à la survie d'espèces sauvage près des habitats humains ou leur réintégration par certaines citées est peu diversifiée mais particulièrement adaptée aux conditions de vie.

Les sources de nourriture sont rares, dispersées et éphémères. La plupart des espèces arctiques y sont adaptées et sont, par conséquent, très opportunistes.

Elle porte le plus souvent une fourrure ou un plumage épais et blanc en hiver ainsi qu'une grosse couche de graisse pour se protéger du froid, du vent et de la glace.

Ongulés
Ils exploitent la toundra et migrent en fonction des ressources alimentaires.  

Le bœuf musqué

se serrent les uns contre les autres pour garder leur chaleur. Ces mammifères herbivores de 1,3 m de hauteur possèdent un lourd manteau de fourrure qui leur permet de braver des températures de –70 °C. Lorsqu’ils sont attaqués par des ours ou des loups, les bœufs adultes, mâles et femelles, forment un cercle et placent leurs petits au centre pour les protéger.

Le bœuf musqué


Le renne


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Mammifères

L’ours blanc

aussi appelé ours polaire, est le plus grand fut et reste le plus puissant des prédateurs terrestres.
Ce géant solitaire peut atteindre 3 m de long et peser près de 700 kg ! Comme plusieurs animaux de l’Arctique, il possède un pelage blanc qui lui permet de passer inaperçu dans les paysages enneigés. Il chasse les phoques.

L’ours blanc                 Le renard arctique

qui mesure 85 cm de long (incluant la queue), possède un pelage dense qui change de couleur selon les saisons. L’hiver, sa fourrure blanche le rend invisible sur la neige. L’été, il se fond dans le paysage de toundra avec son dos brun.
Grâce à son épais pelage, à son museau court et à ses petites oreilles qui limitent les pertes de chaleur, le renard arctique supporte des températures de –70 °C. Ce carnivore se nourrit de petits mammifères, d’oiseaux et de carcasses.
Le renard arctique                

Le lièvre arctique

creuse son abri dans la neige pour dormir et se protéger du vent et du froid vif de l’hiver. Ses pattes postérieures sont dotées d’une épaisse fourrure qui lui permet de conserver sa chaleur. Dès qu’il sent approcher un loup ou un renard, ce petit mammifère se dresse sur ses pattes et détale en bondissant à une vitesse qui peut atteindre 50 km/h !
Le lièvre arctique

Lemming à collier,

Lemming norvégien,

Campagnols,

Ecureuil spermophile,

Marmotte bobak

Musaraignes

Loup,

Belette franche,

Hermine,

Glouton

Lynx

Coyote   

Le chien groenlandais


Insectes

Le court été boréal (ou la proximité d'une ville) est aussi l'occasion du développement d'insectes comme les moustiques et les papillons.

Environ 700 espèces dont, moustique, moucheron, papillon, araignée

Hors de la Forêt il est rare de rencontrer des mouches noires, qui sont un véritable fléau dans les cités.

Oiseaux

La sterne arctique

vit en volant d’une région à l’autre où elle profite de la nourriture abondante et des longues heures d’ensoleillement dont bénéficie chacune des moitiés du globe, selon la période de l’année.
    La sterne arctique                                    

L’oie blanche       

En été, elle niche en grandes colonies dans la toundra, se nourrissant d’herbes, de baies et de grains.

L’automne venu, elle migre en immenses groupes vers les zones plus chaudes
            L’oie blanche

   

Le Grand corbeau       


Le harfang des neiges

Le tétras

Oiseaux sédentaires qui réussissent à résister aux climat.


Autres oiseaux

C'est dans la Forêt que l'on trouve un nombre considérable d'oiseaux tels que la grive de Sibérie . Ces oiseaux migrent vers le Nord l'été pour tirer profit de la nourriture abondante en insectes durant cette saison.


Quelques oiseaux carnivores vivent dans les zones plus clémentes Parmi ceux-ci, le busard.


Faune marine       

Les morses

partagent leur temps entre la terre et la mer. Ils se nourrissent de petits invertébrés au fond des eaux froides de l’océan Arctique, mais se réunissent également par milliers sur les plages pour se reposer et mettre bas. Les mâles pèsent une tonne pour 3 m de long. Les défenses, qui mesurent jusqu’à 1 m, leur permettent de se hisser sur la glace et de livrer des combats.
Le morse    

               

Le phoque annelé

Le plus commun des phoques de l’Arctique, le phoque annelé, doit son nom aux taches en forme d’anneaux dessinées sur sa fourrure. Les adultes construisent des tanières dans la glace pour protéger les nouveau-nés du froid, de l’ours polaire et du renard arctique. Ces tanières ont un accès direct à la mer, où les phoques se nourrissent de poissons et de crustacés.
Le phoque annelé


Les poissons

Difficilement accessibles des terres, mais disposant d'une réserve alimentaire en plancton plus rare, mais toujours bien présente on les retrouve parfois migrant occasionnellement dans les eaux cachées par la glace.

Environ une centaine d'espèces sauvage dont : Le flétan, La morue, Le rouget, Le loup marin, L'omble chevalier, Le saumon.

On note que certaines villes élèvent en masse le tilapia, dans des réservoirs souterrains, dans le cadre du traitement des eaux usées.


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